lundi 18 janvier 2010

La copine de joueur

Hier, je suis allée voir Stade- Harlequins à Ernest Wallon. Toulouse a gagné, c'était un chouette match et on a découvert que Louis Picamole était un beau poulet. Mais ce n'est pas le sujet principal de cet article, déjà parce que y'a mieux que Louis Picamole, et parce qu'il ne faut pas exagérer.

Le sujet aujourd'hui, c'est la copine de joueur. C'est une immense confrérie, qui ne connait rien au rugby, et qui pourtant se trouve asse facilement le dimanche aprèm au stade.



Personnellement, j'ai envie de les claquer. Déjà, il leur faut une heure pour piger le principe de l'en- avant. Elles voient des fautes là où il y a un beau geste et assomment tout le monde de leurs commentaires stupides débiles inutiles (ok, le hors- jeu, c'est un concept plutôt compliqué - je dis ça, mais j'ai toujours un gros doute sur le hors jeu au foot). Ensuite, elles se déplacent en bandes piaillantes et gloussantes. Un troupeau de dindes, en fait.
Un troupeau de dindes, dont une a chopé / s'est faite choper par un rugbyman pendant une soirée. Comme chacun le sait, un rugbyman est un pur beau gosse (faites moi penser à leur présenter... au hasard, Mario Ledesma). Et sortir avec un rugbyman, c'est la classe. Alors il faut que ça se sache. Par conséquent, la copine de joueur encourage son copain à grands cris. Sauf qu'une fois sur deux, elle se trompe de joueur.

Messieurs, aidez nous à combattre ce fléau et à regarder votre match tranquilles. Expliquez à vos copines les règles élémentaires du rugby, mais surtout, DITES LEUR VOTRE NUMÉRO !!!!

Quoique, non. Finalement, elles sont assez divertissantes...

samedi 9 janvier 2010

Come back

C'est bon ? J'peux sortir, c'est fini ? On risque pas de m'agresser de voeux au premier coin de rue ? Ouf, ça c'est fait.

Parce que voyez- vous, je suis un peu comme Pierro la Tombal et Pascalou (en même temps, c'est normal, l'atavisme fait des ravages). La nouvelle année, ça me fait ni chaud ni froid. Non, c'est pas le bon mot. En fait, ça me tape sur le système. Bonne année, bonne santé, la réussite et les amours. T'as oublié la marmotte, mec ! (oui, j'aime les marmottes, encore plus depuis que j'en ai vu une vraie même pas empaillée). La bonne année, pourquoi pas, à la rigueur. La santé, ça commence à être chaud, surtout cette année démarrée sur les chapeaux de roue avec une gastro le 2 janvier. La réussite, et vu que le dernier sondage à l'EDJ laisse apparaître que la moitié de la promo s'en remet aux poneys imaginaires pour se  faire souffler les réponses (les vieux ceux qui vivent dans une grotte les emmerdeurs de révolutionnaires ceux qui n'ont pas Facedebouc ne peuvent pas comprendre : dans notre joyeux enclos à moutons, c'est la grande mode des poneys ; ainsi on peut aller encours, rentrer de soirées ou faire ses courses en poney, on a un service de poneylib' et des poneys imaginaires qui nous soufflent les réponses en partiels), c'est pas forcément une bonne idée. Et les amours, ça c'est une grosse blague. C'est pas comme si on allait de rateau en rateau, hein. Mais là tout de suite, celui qui me souhaite les amours, moi je lui souhaite le dentiste à coup de lampe de bureau.

Et pis, quand même, c'est la saison de la galette, et comme l'atavisme fait mal les choses, je suis une grande gourmande, alors je vais sortir de ma cachette...

Je ne vous souhaiterai pas la bonne année, ni la santé ou la réussite, parce que 2010, même combat que 2009, mais avec un an de plus.

Edit : la preuve, je crois qu'on est repartis comme en 2006, 2007, 2008 et 2009 avec des alarmes incendie qui se payent notre tête.